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Lorsque la génération actuelle du Kia Niro EV a été mise en vente en 2019, beaucoup ont soutenu qu'elle n'avait pas vraiment besoin d'être remplacée.
L'ancienne voiture était relativement abordable, avait plus d'autonomie que beaucoup d'autres voitures électriques à l'époque, offrait un espace intérieur généreux et une apparence bien proportionnée.
Mais la nouvelle voiture est arrivée avec un tout nouveau design inspiré de la Kia EV6, un intérieur redessiné et de meilleure qualité, une nouvelle plateforme et même un nouveau nom.
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Malgré tous ces changements, le succès commercial de la génération actuelle parle de lui-même. Près de 50 000 exemplaires ont été vendus en Europe jusqu'à présent en 2024, soit près de 20 000 de plus que la Volkswagen ID 3 et la Skoda Enyaq, et environ 5 000 de plus que la Jeep Avenger (qui est, bien sûr, une voiture beaucoup plus récente).
Mais à part essayer d'être meilleur que la voiture qu'il remplace, y a-t-il quelque chose de particulier que ce VE ne fait pas si bien ? Après tout, maintenant que la concurrence est beaucoup plus efficace, plus rapide, plus spacieuse et généralement plus compétitive, nous avons pensé qu'il était temps de revisiter la voiture vedette de Kia.
Sans plus attendre, voici ce que nous aimons - et ce que nous n'aimons pas - du Kia Niro EV.
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Nous ADORONS le Kia Niro EV parce que...
S'inspirant de la grande EV6, l'intérieur du Niro EV s'enroule autour de vous pour créer une sensation de cockpit plus grande que celle à laquelle on pourrait s'attendre dans une voiture à hayon. De plus, les matériaux utilisés à l'intérieur sont résistants et l'ajout de deux accoudoirs montés sur les sièges avant rend l'expérience de conduite plus relaxante.
Cependant, nous pensons que la qualité des matériaux pourrait être légèrement améliorée sur l'ensemble de la gamme, car les modèles inférieurs reçoivent des plastiques plus rugueux alors que les voitures mieux équipées bénéficient de matériaux plus doux au toucher. Cependant, lorsque la voiture est équipée de matériaux de meilleure qualité, elle est facilement à la hauteur de la Cupra Born et de la Volkswagen ID 3.
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Nous détestons le Kia Niro EV parce que...
Pour un véhicule électrique moderne, le Niro EV ne se recharge pas très vite, même si vous utilisez un chargeur rapide de 100 kW. La batterie n'acceptant que des vitesses de charge allant jusqu'à 72 kW, la charger de 10 % à 80 % prendra au moins 45 minutes. Si vous achetiez une Cupra Born ou une Volkswagen ID 3, elles seraient 10 minutes plus rapides.
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Nous ADORONS le Kia Niro EV parce que...
Le moteur électrique de 204 ch monté à l'avant du Niro EV peut propulser ce hatchback de 1739 kg de 0 à 100 km/h en environ 7,0 secondes, ce qui est plutôt rapide pour un crossover à hayon. Et comme il s'agit d'un moteur électrique, il n'y a pas de vitesse à changer et la puissance est délivrée instantanément, ce qui signifie que vous n'êtes jamais en manque de performance.
De plus, cette puissance est délivrée de manière très civilisée, et bien qu'il y ait un peu de couple à l'accélération, vous pouvez toujours profiter d'une conduite fougueuse sans compromettre la sécurité. Le système d'antipatinage n'est pas non plus très intrusif, ne limitant la puissance que dans les situations les plus extrêmes.
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Nous détestons le Kia Niro EV parce que...
Alors que les niveaux de finition supérieurs bénéficient de matériaux doux au toucher sur les cartes de porte, d'un éclairage d'ambiance personnalisable et de panneaux décoratifs coûteux, le Niro 2 se contente d'un simple plastique dur et d'un écran d'infodivertissement beaucoup plus petit qui semble un peu perdu. De plus, le cuir synthétique de Kia ne parvient pas à faire semblant d'être du cuir, mais ressemble plutôt à du papier mâché.
Parmi les autres problèmes de qualité, citons les câbles apparents sous les sièges et dans le plancher du conducteur, ainsi qu'un cache-bagages aussi fragile qu'il en a l'air et une pédale de frein suspendue à un support grossièrement soudé qui risque d'accrocher des parties de votre chaussure.
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Nous ADORONS le Kia Niro EV parce que...
En termes de praticité, l'espace offert par le Niro EV est assez impressionnant, avec autant d'espace pour les jambes à l'arrière que les Volkswagen ID 3 et Cupra Born, avec des dossiers de sièges minces qui ajoutent à l'espace offert. De plus, le volume du coffre est augmenté de 90 litres.
Cela signifie que la batterie de 67 kWh de la voiture n'empiète pas trop sur l'habitacle, si ce n'est qu'elle vous oblige à adopter une position de conduite anormalement haute.
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Nous détestons le Kia Niro EV parce que...
Bien que fonctionnant à l'électricité, le Niro EV est loin d'être la voiture la plus silencieuse sur la route. Tous les types de bruits, du sifflement du vent au rugissement de la route en passant par les bruits de suspension, peuvent être entendus à l'intérieur. Sur un long trajet, cela pourrait s'avérer fatigant, mais nous pouvons le pardonner un peu parce qu'il coûte moins cher que beaucoup de ses concurrents.
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Nous ADORONS le Kia Niro EV parce que...
La façon dont le Niro EV se comporte sur une route sinueuse est sans doute meilleure que celle de ses équivalents à moteur à combustion, au point qu'ils donnent tous deux l'impression d'être des voitures fondamentalement différentes.
Le Niro EV tourne avec vivacité, dispose d'une bonne adhérence sur sol sec et peut même pivoter dans le virage si vous relâchez l'accélérateur de manière agressive. Mieux encore, la direction légère fournit même un bon retour d'information pour donner à ce banal véhicule électrique un véritable éclat de conduite. À cet égard, nous la comparerions à la Cupra Born, ce qui n'est pas peu dire.
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Nous détestons le Kia Niro EV parce que...
A l'intérieur, vous disposez d'un sélecteur rotatif pour changer de vitesse, qui n'est pas aussi intuitif que celui dont vous disposez dans le Niro Hybrid. En effet, il faut mettre le pied sur le frein avant de sélectionner une vitesse, ce qui peut être frustrant lorsqu'on veut effectuer un virage rapide en trois points. De plus, les freins eux-mêmes ne sont pas très progressifs, mais au moins leur puissance de freinage est comparable à celle d'autres rivaux électriques.
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Nous aimons le Kia Niro EV parce que...
Malgré le dynamisme du Kia, il ne donne jamais l'impression d'être dur, rugueux ou accidenté sur des routes imparfaites avec beaucoup de nids-de-poule ou de dos d'âne, et parce que son contrôle de la carrosserie est assez lâche, il prend très bien les longues ondulations. Ceci, combiné au fait que les sièges sont très confortables ; même les sièges de base, recouverts de tissu, offrent un soutien décent et une bonne isolation des chocs.
Si vous souhaitez encore plus de confort, les versions supérieures proposent des sièges dotés de la fonction « Premium Relaxation », qui vous permet d'incliner les sièges à l'aide d'un simple bouton.
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Nous détestons le Kia Niro EV parce que...
Les fonctions ADAS de la voiture, telles que l'assistance au maintien de la trajectoire et la reconnaissance des panneaux de vitesse, sont très aléatoires. L'assistance au maintien de la trajectoire peut être intrusive sur les routes de campagne et, bien qu'elle se calme sur les autoroutes, elle ne disparaît jamais vraiment. De plus, la reconnaissance des panneaux de vitesse n'affiche souvent pas la limitation de vitesse ou se trompe de chiffre, ce qui rend la fonction largement inutilisable.